Perles de culture

Les fermes perlières non japonaises installées en eau de mer utilisent les grandes pinctadines (Meleagrina maxima etMeleagrina margaritifera). Les premiers essais furent conduits dès 1922 dans l’île de Bitung (Célèbes) par S. Fujita qui fonda la South Pearl Company, dont la première récolte eu lieu en 1928.

Afin d’éloigner le moindre doute et fournir un classement net et clair, on distinguera les perles naturelles (perles fines), les perles de culture ainsi que les imitations de perles.

Durant le processus d’élevage de perles de culture, il faut insérer une petite bille nommée « noyau » (ou nucléus) dans le mollusque.

Le temps s’écoule et il faut bien six longues années entre le début des élevages de perles Akoya jusqu’à leurs ventes aux enchères.

Des perles de culture sans noyau ? Oui vous avez bien entendu. Ce genre de culture, particulier il faut le dire, est utilisé en milieu d’eau douce

Les grosses et très célébres perles d’Australie font réver nombres de femmes dans le monde entier… et pourtant, leur culture est relativement jeune

L’opération consiste à l’insertion d’un greffon (un petit morceau du manteau prélevé sur une huître) et un nucléus (une bille de nacre fabriquée avec de la coquille d’huître d’eau douce) dans une huître

L’île Maurice souhaitant prendre part au marché de la perle, est prête à se lancer dans l’aventure.

Le mot élégance tire son origine du latin elegancia qui est l’art de savoir discerner. La Renaissance a vu le sens de ce vocable se transformer. Élégance ne veut pas simplement définir la façon dont vous vous habillez mais aussi votre goût personnel, votre façon d’être dans vos actes et vos sentiments.

Les perles ne trichent pas, c’est une matière vraie et naturelle. Lorsque nous (la Maison Gemperles) affirmons que chaque perle est unique, ce n’est pas pure rhétorique, mais bien l’absolue vérité.